• Violaine de la poaimmiaire

     

     

    Violaine de la poaimmiaire

     

    Violaine de la poaimmiaire

     

    Violaine de la poèmiaire

     

    Violaine de la poaimmiaire

    Violaine de la Poaimmiaire

    poète * écrivain * rédactrice

     

    Violaine de la poèmiaire

     

    Le corps tendu vers toi

    Le corps tendu vers toi, l’esprit et l’âme libres
    Lorsque tu m’as dit « Viens, nous allons nous aimer… »
    En sachant bien qu’Eros saurait nous enflammer
    J’ai dit « Oui, mon amour » ce de toutes mes fibres
    Avec émotion !

    Cela fut… Sans conteste et nulle retenue !
    Le jour nous a chanté ce que jouait la nuit
    En notes dont l’ardeur alors jamais ne nuit
    Pour offrir aux plaisirs son aura toute nue
    Vibrant de passion !

    Nous avons en commun le goût pour cette ivresse
    A stimuler nos sens, à varier nos jeux
    Afin d’illuminer les plus mornes des cieux
    En redoublant toujours d’attentions, d’adresse,
    Avec soumission !

    Nous avons tout tenté, la corde et la fessée
    Et tous ces appareils pour donner du plaisir
    Oh…. Nous avons pris, beaucoup, tout à loisir,
    Et cela nous a plu, sans arrière-pensée
    Loin de l’agression !

    Bientôt, fourbus, béats transportés par la vague
    En grande jouissance emportant vers le fond
    Nous avons pourtant su saisir notre rebond
    A l’aube et ses lueurs où l’amour s’extravague
    En tendre pression !

    Mes jambes en collier, lors tu m’as prise encore
    Avec un allant fou dont le trouble chantait ;
    Sous mes gémissements, ta fougue s’emportait
    Jusqu’au coup de boutoir ultime et qui s’honore
    Par une ovation !

    © Violaine de La Poaimmière
    Extrait de « EROTISSIMO » Editions Thierry Sajat - 2014

     

    Violaine de la poèmiaire

     

    Érotissimo

    Mon sexe est une fleur
    Dont tu prises le cœur
    Et les tendres pétales
    Cachant en leurs dédales
    Un joyau qui t’attire…
    Sa flamme, c’est peu dire,
    Sans le moindre tabou
    Sait bien te rendre fou
    En flux aux vagues folles
    De sucs dont tu raffoles !

    Quand ta langue s’unit
    D’une ardeur sans dédit
    Aux frissons de ses lèvres
    Pour de puissantes fièvres,
    Elle s’ouvre pour toi
    Frissonnant sous ta loi…

    Puis, livrant ses richesses,
    Ivre de tes largesses,
    Vibrante à tes désirs
    En t’offrant ses plaisirs
    Elle explose suprême
    Et palpite à l’extrême.
    Mon sexe est cette fleur
    Ardente à ta chaleur.

    © Violaine de la Poaimmière
    Extrait « Erotissimo »
    Editions Thierry Sajat, Paris, 2014

     

    Violaine de la poèmiaire

     

    Au chant de ton désir…


    Elève encore, Amour, le chant de ton désir
    Qui mettra des frissons jusqu’au fond de mon âme,
    Invitant mes ardeurs quand mon être s’enflamme
    A souhaiter ton “La” pour vibrer à loisir…

    De ses moindres recoins toi seul sais bien saisir
    Les émois palpitants de mon corps qui se pâme
    Sous tes mains ou ta bouche… et la fougueuse femme,
    Te livrant, aussitôt, son plus ardent plaisir.

    Fais-la chanter pour moi cette animale envie
    Dans le torride chœur des appels où la vie
    Bouillonne et se transforme en divins coups de reins !

    Embrase-moi, fiévreux, sans nulle retenue ;
    Lors, soumise à tes sens, contre toi chaude et nue,
    Je crierai mon extase aux élans souverains !

    © Johanne Hauber-Bieth (9 janvier 2006)

     

     

    Violaine de la poèmiaire

      

    Quand ma fontaine d’or

    Quand ma fontaine d’or coule à flots dans ta bouche
    Mon corps, tout secoué, semble un hymne à l’Amour ;
    Sur ta langue fiévreuse, où mon plaisir se couche,
    Tu goûtes mon extase et jouis à ton tour.

    Ta divine caresse, habile et sans retouche
    Quand ma fontaine d’or coule à flots dans ta bouche
    Se fait plus délicate, et plus aimante aussi.
    Tu le sais bien que j’aime être alors bue ainsi !

    Eros s’agite en nous, toujours, lorsqu’il nous touche
    De son robuste trait qui palpite en nos coeurs ;
    Quand ma fontaine d’or coule à flots dans ta bouche
    Nous entendons tous deux ses plus célestes chœurs !

    Tandis que mes longs cris font trembler notre couche
    Tu vibres de bien- être et triomphes joyeux
    D’avoir su me donner des frissons merveilleux
    Quand ma fontaine d’or coule à flots dans ta bouche !

    © Violaine de La Poaimmière (2 août 2014)

     

    Violaine de la poèmiaire

     

    SOUS TA BOUCHE

    Lorsque ta bouche avide à la mienne se colle
    Pour goûter à mon île et ses troublants parfums
    Ta langue exalte ceux de palpitants embruns
    Où mon désir de toi plus follement accole.

    La plage qu’est mon corps ne devient qu’un seul flux
    Pour ruisseler d’amour par son doux coquillage,
    Quand à son goût salé tu mêles, fou sillage,
    Celui de tes baisers dont j’aime les reflux.

    Au long flot du plaisir attisé par tes fièvres
    Que vient t’offrir ma rive aux languissants attraits,
    Tu bois la vague folle et puissante à longs traits,
    Ivre de mon bonheur tressaillant sous tes lèvres !

    © Violaine de La Poaimière
    Extrait de « Erotissimo » - Poésies amoureuses d’alcôve
    Disponible aux Editions Thierry Sajat- Paris.

     

    Violaine de la poèmiaire

     

    Sens-tu ?

    Sens-tu là, dans mon cou, comme bat mon envie
    De te baiser amour alors que tout mon corps
    Fiévreux sous ta caresse habile en ses essors
    Me fait vibrer, fervente en acclamant la vie !

    Tu sais bien, sans façon, me rendre ivre de toi
    Juste avec un regard, tu soulèves l’extase
    En mon être troublé dont tout le for s’embrase
    Car vois-tu ton désir est mon unique loi !

    Viens, je voudrais boire encore ta jouissance
    En spasmes dont les flots, palpitants, généreux,
    Couleront dans ma gorge en te rendant heureux
    Alors je jouirai… Jusqu’à la défaillance !

    © Violaine de La Poaimmière (31 juillet 2014)
    Extrait de « Erotissimo » à paraître en 2015…

     

     

    Violaine de la poèmiaire

     

    Les fleurs de ton désir

     

    Lorsque mes fruits tendus se nichent dans ta main

    Pour vibrer sous ta bouche, un hymne d’allégresse

    S’élève de mon âme et lentement progresse

    Se joignant aux accords des plaisirs en chemin…

     

    Mon verger s'éblouit d’éclats rouges “carmin”

    Que tes lèvres font naître en baisers dont, sans presse,

    Tu plaques la ferveur, exempt de maladresse,

    Au cœur du tendre enclos parfumé de jasmin.

     

    Lors, ces fleurs du désir quand ton ardeur les pose,

    Avec le goût du sang que seul l’érotisme ose,

    Viennent, pourpres, éclore ivres de vénusté !

     

    Leurs corolles d’amour, qu’Eros trouve si belles,

    Venant troubler mes sens, ravir ma volupté,

    Me guident vers l’extase... en chaudes ribambelles !

      

    Violaine de la poèmiaire

     

     

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