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     Violaine de la Poaimmiaire

     

    * PARUTIONS *

     

    Violaine de la Poaimmiaire

     

     

    Violaine de la Poaimmiaire

     

      

    Johanne Hauber-Bieth

     Johanne Hubert-Bieth 

     

     

    Johanne Hauber-Bieth

    Violaine de la poèmiaire 

     

     

     

    Pour nous aimer…

    A tous vents j’ai jeté les voiles des tabous
    Pour ton plus grand bonheur et ma plus belle joie.
    Aujourd’hui, pour tous deux, entre nos draps de soie,
    Eros étant le maître, nos désirs sont plus fous !

    Tu m’emmènes si loin, que parfois j’en défaille…
    Pour le moindre plaisir tu trouves toujours plus.
    Tu donnes à nos jeux, où jamais tu n’exclus
    Ce qui peut nous griser, un parfum de trouvaille !

    Lors parfois je deviens la fleur du macadam,
    Arpentant le bitume avec des bas résilles
    Pour que dans ton regard une fièvre brasille
    Jusqu’à te donner l’heur d’être mon seul quidam !

    Une autre fois tu veux être mon prisonnier
    A genoux sur la couche, à me demander grâce
    Sous les coups de liens ne laissant nulle trace
    Mais t’excitant toujours car je sais les manier !

    Il nous arrive aussi, jouant les tourtereaux
    De nous croire à Venise où, galante Juliette,
    Je sais t’offrir ma flamme au fond d’une oubliette…
    En Roméo fougueux tu brises tous mes sceaux !

    Etouffant d’un baiser mon « je t’aime » vibrant,
    A l’instant où, sans faille vient chanter de liesse
    Mon corps jamais repu de ta belle hardiesse,
    Tu te perds tout en moi, d’un spasme délirant !

    © Johanne Hauber-Bieth (28 octobre 2014)

     Violaine de la poèmiaire

     

    Viens dans mes bras

    Viens dans mes bras, Amour, ils sentent le bonheur,
    Contre tes nuits d’angoisse et tes jours de colère
    D’un suave parfum qui n’est que pour ton cœur,
    Il sera très actif tant il saura te plaire.

    Pour percevoir en toi, les frissons du vainqueur,
    Viens dans mes bras, Amour, ils sentent le bonheur
    Qui lors te donnera la source d’allégresse
    Où tu pourras puiser une force maîtresse.

    Pour boire avec plaisir à la dive liqueur,
    De ma coupe tendue en n’ayant plus de crainte,
    Viens dans mes bras, Amour, ils sentent le bonheur
    Et te seront berceau par leur moelleuse étreinte.

    Tu verras dans mes yeux la parade à ta peur
    Briller par tant de paix, en éclat doux et tendre
    Que, quel que soit l’instant, tu aimeras t’y pendre.
    Viens dans mes bras, Amour, ils sentent le bonheur…

    © Johanne Hauber-Bieth

     Violaine de la poèmiaire

     

     


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